Un jeune trompettiste à découvrir qui nous vient de Chicago, c’est le programme de la chronique de Franpi Barriaux.
Nostalgique des concerts “Vous vous souvenez comment c’était, vous, les concerts ? Un moment de communion, une énergie foutraque, de la chaleur humaine et musicale…”, l’auteur nous propose des lives mis à disposition lors du premier confinement par le label Aerophonic du saxophoniste Dave Rempis sur BandCamp.

C’est dans ce “nombre important d’archives de concerts chicagoans” qu’on retrouve le live de Harmattan. Un Quintet “toujours proposé par Rempis” qui nous entraîne encore dans “les bistroquets de Chicago”.
C’est l’occasion d’y découvrir et d’entendre Russ Johnson, dont “l’approche provoque des mouvements de fond, un peu comme s’il intervenait en résonance de Rempis, insatiable mais lui aussi moins agité, comme sûr de sa base rythmique renforcée. Il la rejoint, dans le dernier tiers de cette plage unique au baryton, mais le contrebassiste Joshua Abrams s’allie à deux batteurs pour une orgie de rythmes”. Le groupe est complété par Isaiah Spencer et Jeremy Cunningham “deux fortes têtes de Chicago”
L’auteur conclut l’article par une petite phrase qui résonne fort en ce moment “c’est fou comme ça nous manque”.
La chronique complète est à retrouver sur le site de Citizen Jazz avec d’autres lives à découvrir.